Entre-Corps
avec: Catherine Rebois et Julien Spiewak
Vernissage le 23 mars dès 18h en présence des artistes
Exposition du 24 mars au 6 mai 2017
Horaires d'ouverture: mardi au samedi, de 11 à 18 heures, et sur rdv
L'exposition Entre-Corps réunit Catherine Rebois et Julien Spiewak, deux artistes qui ont comme point commun une réflexion sur la question du corps dans la photographie. Catherine Rebois déconstruit la présence du corps, et des corps, tel des objets en mouvance. Julien Spiewak construit ses images en associant corps et décors dans l’espace muséal.
Le corps remplit de sa présence ou de son absence les photographies de Catherine Rebois. Dans son travail certaines parties du corps ne se réunissent jamais complètement, comme si le corps était toujours partagé entre les différentes images qu’il renvoie. Organisation et désorganisation, multiplication des photographies qui forment des ensembles à l’intérieur desquels une narration se plie et se déplie, reconsidérant même les possibilités du médium. Nu toujours, présenté sur fond noir ou blanc, le corps, vulnérable, s’offre ainsi.
De son côté, Julien Spiewak intègre une partie de corps nue dans des intérieurs de musées et de collections privées dans le monde. Ce fragment de corps s’insère avec une grande subtilité et parfois même avec humour. Ce détail décalé provoque une relecture de l’image globale. Il transforme, anime, coexiste et prend place dans l’histoire. A travers ce travail, Julien Spiewak questionne la longue tradition de la photographie comme « document ». De nombreuses questions émergent à la lecture de son travail : la prise en compte du document photographique dans le champ de l’art, les fonctions premières du medium photographique comme moyen de reproduction et la réappropriation d’objets et d’œuvres d’art comme processus de création.
L'espace_L propose au public cette réflexion autour du vaste thème qu’est le corps, qui devient à la fois sujet, objet, obsession.
Le corps remplit de sa présence ou de son absence les photographies de Catherine Rebois. Dans son travail certaines parties du corps ne se réunissent jamais complètement, comme si le corps était toujours partagé entre les différentes images qu’il renvoie. Organisation et désorganisation, multiplication des photographies qui forment des ensembles à l’intérieur desquels une narration se plie et se déplie, reconsidérant même les possibilités du médium. Nu toujours, présenté sur fond noir ou blanc, le corps, vulnérable, s’offre ainsi.
De son côté, Julien Spiewak intègre une partie de corps nue dans des intérieurs de musées et de collections privées dans le monde. Ce fragment de corps s’insère avec une grande subtilité et parfois même avec humour. Ce détail décalé provoque une relecture de l’image globale. Il transforme, anime, coexiste et prend place dans l’histoire. A travers ce travail, Julien Spiewak questionne la longue tradition de la photographie comme « document ». De nombreuses questions émergent à la lecture de son travail : la prise en compte du document photographique dans le champ de l’art, les fonctions premières du medium photographique comme moyen de reproduction et la réappropriation d’objets et d’œuvres d’art comme processus de création.
L'espace_L propose au public cette réflexion autour du vaste thème qu’est le corps, qui devient à la fois sujet, objet, obsession.